L'histoire :
Neuf mois avant la cérémonie des diplômes. Arata est en train de dormir quand quelqu’un frappe à sa porte avant d’entrer. Il s’agit du patron du Felice et trois serveurs qui sont venus lui apporter un cadeau, le paquet étant très volumineux. Arata n’a pas le temps de demander des explications car le quatuor repart pour participer à un reportage télé. C’est alors que le paquet se met à remuer. En sort alors un lion qui fonce immédiatement se réfugier dans la chambre du garçon. D’abord pétrifié, Arata appelle ensuite le patron pour comprendre ce qu’il se passe. Le patron lui explique qu’il s’agit en fait de sa nièce qui est déguisée en lion et devait être hospitalisée dans une clinique. Seulement, le directeur de la clinique pense que la demoiselle a besoin d’un environnement plus calme. Du coup, Arata doit l’héberger durant une semaine...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Dernier volume de la série, celui-ci nous propose deux histoires qui sont plus des bonus qu’autre chose. Dans un premier temps, on suit Arata qui est obligé de garder chez lui une demoiselle déguisée en lion. L’introduction de ce récit est certes un peu expéditif mais, une fois que les choses sont mises en place, on se prend d’affection pour le duo. Il faut dire qu’on est curieux de savoir pourquoi la demoiselle se cache sous un déguisement et refuse de parler. Rapidement, on est embarqué par le scénario et on est finalement assez touché par tout ce qu’il se passe. Le dénouement est très sentimental mais l’ambiance est là et on est finalement assez ému. La deuxième nouvelle, qui occupe le dernier tiers du volume, transporte les personnages dans une station thermale et met la relation entre Hajime et Rika en avant puisqu’il est question de demande en mariage. Plutôt rigolote et légère, cette partie offre un véritable épilogue à l’histoire principale. On passe un bon moment avec les personnages et, bien que l’ensemble soit assez prévisible, on est assez diverti. En résumé, ce dernier volet est plus un bonus qu’une vraie conclusion mais il n’en demeure pas moins sympathique.
