L'histoire de la série :
Refusant d'aller vivre en France avec sa mère et son père, Hikaru est envoyée dans un pensionnat pour jeunes filles. Elle y fait la connaissance de sa camarade de chambre, Izumi, une jeune fille qui a beaucoup de fans dans l'école car elle est une idole. Mais bien vite, Hikaru va se rendre compte qu'Izumi est en fait un homme et va se retrouver malgré elle complice de ce secret.
L'histoire :
Monsieur Ayase avoue à Hikaru qu’il est amoureux d’elle, ce qui comble de joie la jeune fille. Mais, afin de ne pas mêler travail et sentiments, il souhaite tout de même garder une relation professeur-élève dans l’enceinte du lycée. Le lendemain, Hizumi questionne la jeune fille sur ce qu’il s’est passé la veille avant de lui annoncer qu’il n’a pas besoin d’elle pour son travail. Hizumi informe Yasukuni de la situation et ce dernier conseille au jeune homme de prendre ses distances avec Hikaru. En effet, celle-ci pourrait avoir du mal à mentir à son petit ami et il ne faut absolument pas qu’Ayase sache qu’Izumi est en fait un homme. Au bout d’une semaine, Hikaru n’a toujours pas assisté Hizumi dans son travail et elle décide donc de proposer de nouveau son aide à son camarade de chambre. Mais elle se fait rejeter encore une fois, ce qui la vexe profondément. Le lendemain, elle se rend au studio pour parler avec le manager de Hizumi du comportement étrange de ce dernier. Au détour d’un couloir, elle aperçoit alors Hizumi qui se fait harceler par Kurobe et elle décide d’intervenir…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce quatrième volume de Tout sauf un ange est construit exactement comme son prédécesseur : l’intrigue avance lentement jusqu’aux dernières pages où un semblant de suspense apparaît. Comme d’habitude, on voit venir à l’avance tout ce qui arrive et les rebondissements ne nous surprennent donc jamais. Le principal problème est que l’on a l’impression de lire un tome de transition depuis le début de la série, et ce volume 4 n’échappe pas à cette règle. Du côté des dessins, la qualité est assez correcte mais il y a peu de décors et le tramage vient régulièrement alourdir les cases plutôt que les colorer. De temps à autre, on peut observer un découpage assez original venant surtout souligner les passages comiques. Quant aux personnages, ceux-ci sont plutôt expressifs mais, globalement, le charisme leur fait défaut. Avec un scénario sans saveur et des graphismes tout juste corrects, ce manga est à réservé à ceux qui ne sont vraiment pas difficiles. Tout sauf un ange est plutôt tout sauf un chef d’œuvre…
