L'histoire :
Shoya sort enfin du coma. En reprenant ses esprits, il souhaite savoir si Shoko va bien. Seul souci : il a de nombreuses perfusions. Alors qu'il commence à les retirer, une infirmière est avertie par les sonneries d'alarme. Elle lui ordonne de rester couché le temps qu'un médecin vienne le voir. Ne souhaitant pas attendre, Shoya profite de l'absence de l'infirmière pour sortir de l'hôpital. S'il n'est pas sûr que Shoko y sera, le lycéen souhaite tout de même se rendre sur le pont qui leur servait de point de rendez-vous. Sur place, Shoya a la surprise de voir la jeune fille agenouillée, les larmes aux yeux. Ils n'ont pas vraiment le temps d'échanger tous les deux que leurs mères, accompagnées de Yuzuru, arrivent en courant. Maintenant qu'il est de retour, Shoya va devoir se reposer un peu avant de revoir ses amis. Seulement, depuis leur dispute, sont-ils toujours aussi proches ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Depuis ses débuts, A Silent Voice a trouvé le ton juste pour évoquer les brimades et les maltraitances scolaires. Jouant toujours très habilement avec les émotions, sans jamais tomber dans le larmoyant, le récit aura su nous saisir et nous attendrir pour les destins de Shoya et de Shoko. Ce septième opus débute par la sortie du coma du lycéen puis va très vite montrer sa convalescence et son retour auprès de ses amis. Les relations sont toujours au cœur de l'histoire et, depuis le début de la série, on peut voir combien les personnages ont évolué en grandissant. Devant décider du chemin à prendre après le lycée, de nouvelles inquiétudes se forment. La mangaka Yoshitoki Oima est parvenue à offrir une série de qualité et qui ne se sera pas trop dispersée ni même étendue inutilement. La grande maturité de son trait impressionne et il ne fait aucun doute que l'adaptation en animé devrait à coup sûr permettre à une nouvelle salve de lecteurs de plonger dans un titre de qualité.
