L'histoire :
Hanamaki, l’agent de Kirara, a emmené cette dernière à la demeure de Gin afin que celle-ci s’offre à lui. Déguisée en chatte, elle a pour ordre de contenter les fantasmes du jeune homme afin de continuer sa lancée sur le chemin de la célébrité. Les choses sérieuses commencent immédiatement, mais Kirara interrompt les ardeurs de Gin et demande à prendre un bain. Une fois celle-ci partie, Gin se rend alors compte qu’il est nerveux et ému, chose qui ne lui arrive jamais d’habitude lorsqu’il est avec une jeune fille. De son côté, Kirara, sous le charme, se prépare à se donner à l’homme le plus puissant du Japon. Une fois Gin à son tour sorti du bain, tous deux reprennent alors là où ils s’étaient arrêtés. Pendant ce temps, Hanamaki rencontre Ayaka, la dernière vedette ayant bénéficié des avantages de Gin. Celle-ci lui explique alors qu’une fois que sa protégée aura couché avec lui, il s’en lassera et arrêtera de s’en occuper. L’agent se rend alors au domicile de Gin et l’arrête juste à temps, prétextant que Kirara doit effectuer un travail en urgence. Il révèle ensuite la vérité à Kirara, mais celle-ci est déjà amoureuse de Gin et veut réellement se donner à lui…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Second tome des aventures de la pucelle Kirara en proie aux désirs de Gin, l’homme le plus puissant du Japon. Sous ces airs de conte de fées se cache en fait un manga que les éditions Akiko devraient avoir honte d’avoir traduit en France. Celui-ci fait l’apologie de la femme soumise et sans cervelle et qui plus est, mère de tous les vices. Car c’est bien évidemment la faute de Kirara si Gin passe son temps à essayer de la prendre de force, et celle-ci s’excuse même de ne pas avoir pu répondre à ses désirs à cause d’événements qui ne dépendent même pas d’elle ! On atteint des sommets lorsque Gin décide de punir Kirara car elle joue une scène de baiser dans un téléfilm, la punition consistant à la dépuceler en public et devant caméra pendant une scène de viol écrite spécialement pour l’occasion afin qu’il puisse s’en donner à cœur joie. Bref, un manga qui donne le bon exemple, le pire étant qu’il est dessiné par une femme et pour les femmes. Attention, la lecture de ce manga peut sérieusement endommager vos neurones !
