parution 01 avril 2008  éditeur Taïfu comics  collection Taïfu Ecchi
 Public ado / adulte  Mots clés Erotique / Seinen

Love junkies T8

Ces derniers temps, Emu voit moins Eitarô et, par jalousie, devient un peu envahissante, téléphonant très souvent au jeune homme. Un huitième tome toujours intéressant, avec de nombreuses pages couleurs, mais à l’édition possédant quelques défauts !


 Love junkies T8, manga chez Taïfu comics de Hatsuki
  • Notre note Red Star Red Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

  • Scénario Red Star Red Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

  • dessin Red Star Red Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

©Taïfu comics édition 2008

L'histoire :

Eitarô et Emu sont au love hotel pour un rendez-vous coquin. Le jeune homme fait alors remarquer à sa petite amie que celle-ci n’a pas l’air en forme et cette dernière lui avoue qu’elle culpabilise un peu d’avoir laissé ses amies toutes seules pour le réveillon de Noël alors qu’elle le passe toujours avec elles habituellement. De leur côté, Obi et l’amie d’Emu, Esumi, se trouvent eux aussi dans une chambre de love hotel. Tous deux se sont rencontrés par hasard dans les toilettes de la société où travaille le jeune homme alors que celui-ci tentait d’échapper à une horrible femme ayant jeté son dévolu sur lui. Afin qu’elle ait du mal à le retrouver dans le futur, Obi avait alors annoncé s’appeler Eitarô et c’est donc sous ce nom là qu’Esumi a fait elle aussi sa connaissance. Mais, la jeune fille étant une amie d’Emu, elle croit avoir affaire au petit copain de cette dernière et, lorsqu’Obi l’invite à passer la soirée avec lui, elle accepte l’invitation afin d’obtenir des preuves de son infidélité envers Emu. Obi, qui ne sait pas qu’Esumi connaît la fiancée du vrai Eitarô, continue de se faire appeler ainsi, ne trouvant pas l’occasion d’avouer à la jeune fille qu’il n’a utilisé ce nom que pour échapper à la furie. Mais, alors que la soirée avance, Esumi se laisse séduire malgré son amitié pour Emu…

Ce qu'on en pense sur la planète BD :

Commençant tout d’abord par l’histoire du quiproquo où Obi, pour échapper à un laideron de première catégorie, dit s’appeler Eitarô, ce huitième tome revient ensuite principalement sur le vrai Eitarô pour quelques chapitres où le tombeur de ces dames fait encore des heureuses (et des malheureuses d’ailleurs), avant de finir sur des pages consacrées à Emu se débattant contre un jeune homme de son lycée qui a eu le coup de cœur pour elle. L’auteur continue donc de faire vivre ses personnages secondaires comme il se doit, et ce pour notre plus grand plaisir, cela nous évitant de nous lasser en ne voyant que le héros en action. Le quiproquo de départ n’étant pas élucidé, il est à peu près sûr que l’auteur s’en resservira pour alimenter de nouveau les aventures d’Eitarô et d’Emu, surtout qu’Obi semble avoir lui aussi un coup de cœur pour Esumi. Du vrai shôjo en quelque sorte, n’eussent été les scènes de sexe qui parcourent l’ensemble du volume. Encore une fois, le lecteur en a pour son argent avec de nombreuses demoiselles en tout genres, de la femme enfant à l’actrice de X de style gangurô à la poitrine abondante. Comme d’habitude, les dessins sont travaillés, aux nombreux tramages variés et bien choisis, aux effets spéciaux bien rendus, et l’auteur nous offre même quelques pleines pages ainsi que de très belles planches en couleurs (pas moins de 17 !) entièrement consacrées aux demoiselles de la série. On fera néanmoins un petit reproche à l’édition française au contraste trop prononcé, dont certains dialogues sont illisibles (écrits en noir sur fond noir !) et dont le découpage des pages est parfois un peu juste, comme le montre certains dialogues coupés dans le bas des planches !

voir la fiche officielle ISBN 9782351802243