L'histoire :
- Momiji invoque une aide de la part du monde des divinités et c’est Momoo Inugami qui répond à son appel. Après s’être fait expliquer la situation, le jeune homme, qui ne cache pas son goût pour le masochisme, accepte d’aider la déesse. Il reprend sa forme originelle de petit chien tout mignon et compte là-dessus pour se faire adopter par Ichiko et ainsi pouvoir lui prendre son énergie...
- En cours de sport, les élèves doivent jouer au tennis par paire. Tous les garçons veulent bien évidemment être en binôme avec Ichiko. Toutefois, la participation de Momiji va exacerber l’esprit combatif de la demoiselle...
- Afin de profiter du vide affectif laissé par le départ de Suwano dans le cœur d’Ichiko, Momiji décide d’aider un soupirant de la belle à la conquérir...
- En rentrant chez elle, Ichiko découvre un colis. La demoiselle constate qu’il s’agit d’une boîte enrobée d’un ruban bleu. Même si elle trouve cela louche, elle ouvre le paquet : hélas, cela a pour conséquence de la faire rapetisser...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Grâce à la motivation extrême de Momiji, les chapitres s’enchaînent à vive allure et ne manquent pas de tonus. Ainsi, entre un dieu-chien masochiste, un cours de tennis, un soupirant loser et une boîte qui fait rétrécir, la déesse ne se trouve jamais à court d’idées pour ôter de la chance à Ichiko. L’imagination de l’auteur est assez incroyable pour nous proposer des aventures sans cesse originales et renouvelées. Tout cela ne manque pas de rythme et, grâce au caractère déjanté et extrême des personnages, l’humour fuse dans tous les sens, aussi bien que les affrontements. On ne s’ennuie pas une seule seconde et on remarque aussi que l’histoire ne se contente pas d’aligner des gags drôles : Ichiko fait quelques progrès au niveau sentimental et réalise peu à peu que certaines choses n’ont pas de prix, ce qui la rend moins parfaite mais beaucoup plus attachante. Par ailleurs, les graphismes sont toujours aussi plaisants et les pointes de fan-service sauront plaire aux amateurs. Bref, on apprécie toujours autant la lutte « chance contre poisse » !
