parution 13 avril 2011  éditeur Soleil  collection Soleil Gothic
 Public ado / adulte  Mots clés Fantastique - Etrange / Sentimental / Shôjo

Daylight

Interne à la Chernia Academy, Luca est loin d’imaginer que son rôle de « sacrifié » n’est pas qu’un simple surnom. Un titre sans intérêt et d’une qualité d’édition médiocre.


Daylight, manga chez Soleil de Senz, Chai, Sakamoto
  • Notre note Grey Star Grey Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

  • Scénario Grey Star Grey Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

  • dessin Red Star Grey Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

L'histoire :

La Chernia Academy est un internat dans lequel on peut suivre le cursus scolaire du primaire à l’université. Luca fait partie des internes mais, depuis quelques temps, il n’a pas de chance : à cause d’une inondation dans sa chambre, il est obligé de partager celle d’un jeune homme qui passe le plus clair de son temps à dormir et avec qui il a du mal à s’entendre. De plus, Luca a été désigné comme le « messager de l’aube » que l’on surnomme également le « sacrifié », c’est-à-dire qu’il va devoir organiser la fête de la veille de la cérémonie du 1er novembre. Du coup, il est obligé de suivre des cours tôt le matin pour préparer l’évènement avec le professeur Deable qui lui raconte tout un tas de légendes. Et, comme si cela ne suffisait pas, Luca remarque que la tâche qu’il a dans le dos s’est brunie et a pris un peu plus de volume. Luca ne se doute pas que cela n’est que le début de ses véritables ennuis...

Ce qu'on en pense sur la planète BD :

Adapté du jeu vidéo éponyme (probablement sorti uniquement au Japon) et se déroulant dans un internat, Daylight suit l’histoire de Luca, un garçon choisi pour être le « sacrifié » de la fête organisée la veille du 1er novembre. Rapidement, on se rend compte que tout le monde cache un terrible secret sur cette cérémonie et il est assez facile de deviner qu’il s’agit d’une histoire de vampires tant on nous rabâche que les créatures de la nuit existent et que de plus en plus de personnages craignent la lumière du jour. Il n’y a donc pas vraiment de suspense mais ce n’est pas cela le pire. Le problème principal provient en effet du scénario qui manque cruellement d’intérêt (on se contente de voir Luca croiser ses camarades qui attendent avec impatience la cérémonie) et d’une narration qui laisse perplexe à cause des dialogues qui ne sont pas toujours utiles et sont souvent incompréhensibles car vides de sens (ou alors vraiment très mal traduits). S’ajoute à cela une édition d’une qualité médiocre : pages mal coupées, encre qui bave, et pas moins de 10 fautes d’orthographes ! Bref, une intrigue déplorable et desservie par les dialogues et l’édition. Quant aux graphismes, on apprécie l’effort pour la mise en scène et le découpage, ainsi que l’expressivité des personnages. Néanmoins, ceux-ci manquent de charisme et évoluent au milieu de décors très minimalistes, sans oublier un tramage au rendu souvent moiré (encore une fois, la faute à une édition de faible qualité). Vous l’aurez compris, ce one-shot est à oublier.

voir la fiche officielle ISBN 97823015418