L'histoire :
En rentrant chez lui, Tsushima aperçoit Mr Akai avec une jeune fille dans les bras. Dès qu’il voit le jeune homme, le professeur balance la demoiselle à l’intérieur de son appartement mais il est trop tard : la curiosité du lycéen est mise en éveil. Celui-ci utilise alors une feinte pour pénétrer chez Mr Akai et découvre avec grand étonnement que la demoiselle n’est autre qu’une fille de sa classe : Kajitsu. Tsushima apprend également que cela fait plusieurs jours que la demoiselle vit chez son professeur mais, plutôt que de chercher à nier, Kajitsu semble prête à assumer la situation en cas de dénonciation. Après que Tsushima soit rentré chez lui en leur assurant de ne pas les dénoncer, Kajitsu décide de rentrer chez elle à son tour pour retrouver Natsu. Mr Akai la raccompagne un moment mais la demoiselle préfère finir la route toute seule. Une fois rentrée dans sa famille, Kajitsu avoue ses sentiments à Natsu…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Si les évènements se bousculaient dans le volume précédent, il se passe encore plus de choses dans celui-ci. D’abord, Kajitsu réalise qu’elle cherchait un père en Mr Akai et avoue enfin clairement ses sentiments à Natsu, ce qui occasionne un changement d’attitude chez le jeune homme qui continue tout de même à sortir avec Erika. Qu’il s’agisse de cette dernière, de Kajitsu ou même de Lumiko, les demoiselles font le point sur leur sentiments et mettent les choses au clair : les hommes n’ont qu’à bien se tenir ! A la fois dans la sensibilité, l’émotion et parfois le rire, l’intrigue se montre captivante, à tel point qu’on n’arrive pas à détacher le regard. Les graphismes, quant à eux, sont en revanche moyens mais s’avèrent tout de même corrects, avec une petite touche de fan-service un peu étonnante pour ce titre. On notera également que le dernier quart du volume est occupé par une sympathique petite nouvelle sur la naissance d’un amour pendant des vacances au ski. En tous cas, ce volume est fort agréable et on regrette que le prochain soit déjà le dernier.
